6 novembre 2013
Un seul sourire et tout se fige
Dans les méandres de mon coeur
gît ce qui vit et ce qui meurt
des sursauts, des rires et des pleurs
des cris, des silences comme un leurre
pour mieux échapper au vertige
Et sous les battements de mon coeur
qui ne sait plus se détacher
qui ne sait que compter les heures
où nous respirons séparés
frémit ce qui s'agite et plonge
risque de ne pas s'en relever
Dans les mouvements de mon coeur
soubresauts nus, instants lovés
où plus rien, non, plus rien n'afflige
à ne plus savoir raisonner
un seul sourire et tout se fige
je viens à toi les yeux fermés ...
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